L’Observatoire du Développement Sociétal(ODS) proteste énergiquement contre le silence complice observé par ces ONG prétendant défendre les droits humains mais qui brillent par leur rapport à charge contre le gouvernement. Véritable manifestation de leur subjectivité et de leur intention d’installer le chaos dans cette région du pays en particulier et au Cameroun en général pour des intérêts occultes. En intégralité la Déclaration du Coordonnateur Général de l’ODS, Lilian Koulou Engoulou face à la presse nationale et internationale le 10 mars 2020 à Yaoundé.
« COMMUNIQUE RADIO / PRESSE
Suite aux attentats de Galim et Bamenda dans les régions de l’ouest et du nord-ouest Cameroun. Dans le cadre de ses missions de défense des droits des populations et des usagers, l’Observatoire du Développement Sociétal, a suivi avec stupeur et effroi, l’annonce, par les médias nationaux, de l’attaque de Galim survenue le samedi 9 mars 2020 aux environs de 19h30 à la limite ouest de la région du nord-ouest, ainsi que de l’attentat du 8 mars 2020 a la place des fêtes de Bamenda. Ces actes terroristes perpétrés par des éléments des mouvements séparatistes basés dans la région du nord-ouest se sont soldés, d’un côté , par 4 (quatre) morts dans les rangs de nos forces de l’ordre, quatre morts civils dont un individu qui faisait l’objet d’une garde à vue, mais aussi trois (03) autres citoyens inopinément croisés par ces brigands en ce qui est de l’attaque de Galim, et de l’autre côté, de dizaines de blessés et un mort dans les rangs de nos forces de défense pour ce qui est de Bamenda . Sachant que ces attaques terroristes se perpétuent en dépit des multiples appels au calme, à quitter la rébellion lancés par le gouvernement camerounais, il convient tout de même de s’interroger sur le silence assourdissant de certaines ONG bien-pensantes qui par le passé se sont illustrées par des publications ouvertement pro séparatistes à travers des rapports biaisés contre le gouvernement et les forces nationales de défense et de sécurité, au mépris des informations pourtant fiables permettant d’établir la responsabilité irréfutable des mouvements séparatistes et terroristes dans les régions du nord-ouest et du sud-ouest. Des terroristes qui commettent des actes barbares de brigandage, de vol de bétail, de viols et d’assassinat des populations civiles à titre de représailles pour collaboration avec le gouvernement mais aussi pour terroriser celles-ci afin de les obliger à soutenir leurs revendications. L’Observatoire s’indigne vivement contre ces actes terroristes de trop qui surviennent concomitamment aux actes génocidaires organises par les bandes séparatistes dans le nord-ouest contre les populations bororos, notamment les massacres du bétail et des populations civiles perpétrés avant et après le 14 Février 2020. L’Observatoire proteste énergiquement contre le silence complice observé par ces ONG prétendant défendre les droits humains mais qui brillent par leur rapport à charge contre le gouvernement qui sont la manifestation de leur subjectivité et de leur intention d’installer le chaos dans cette région du pays en particulier et au Cameroun en général pour des intérêts occultes. L’Observatoire exprime son inquiétude et sa profonde déception devant tant d’acharnement contre le Cameroun, et appelle le peuple camerounais dans son entièreté, à rester uni, mature, vigilant, à préserver la cohésion nationale, le vivre ensemble et surtout le patriotisme dépourvu de toute empreinte politique ou ethnique. L’Observatoire adresse une fois de plus ses chaleureuses félicitations, son admiration, mais aussi sa gratitude aux éléments de nos forces de défense et de sécurité pour leur engagement fidèle souvent au prix de leur vie, pour la préservation de la paix, la réinstauration d’un véritable climat de dialogue et de quiétude en vue de la résolution durable des problèmes dans les régions du nord-ouest, du sud-ouest , de l’est et de l’extrême nord. L’Observatoire renouvelle son engagement auprès du peuple camerounais à toujours militer, pour la protection, la défense et le respect des droits humains. »
Rédaction Afriquepremiere.net